La Jeunesse Écolo
Comment peut-on sauver les océans ?
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Les océans peuvent êtres sauvés en réduisant l’utilisation du plastique en privilégiant les produits non suremballés, dans un emballage recyclable, dont la taille est ajustée au produit.
Il faudrait également réglementer la pêche mais aussi en modérer notre consommation de poisson et opter pour une alimentation d’origine végétale pourrait avoir un impact important.
Les océans sont également massivement affectés par les émissions de gaz à effet de serre.
Le clean walk consiste a aller directement ramasser les déchets sur les plages pour qu’ils ne terminent pas a la mer. Il y a de plus en plus de clean walk qui sont organisés un peu partout en France et dans le monde. Pourquoi ne pas consacrer 30 minutes de notre temps pour sauver les océans.
De nos jours, la cosmétique a pris une grande place, alors il faut bien choisir vos cosmétiques tout en maintenant votre beauté vous pouvez contribuer à la protection des océans ! Certaines marques s'engagent pour l'océan en offrant des formules adaptées, en donnant une part des bénéfices aux associations, en promouvant la culture d'algues dépolluantes.
Par exemple : « Ren Skincare X Surfrider Foundation »
En 2021, Ren Skincare a atteint un de ses objectifs : le zéro déchet. Cela signifie que 100% des emballages de la marque sont désormais recyclés, recyclables ou réutilisables. Pour aller plus loin encore, Ren Skincare s’est également associée à la Surfrider Foundation, ONG créée dans les années 1980 par des surfeurs étasuniens.
La marque s’était fixé comme mission la protection des océans. En 2021, plus de 413 kg de déchets ont été ainsi collectés. La marque a également soutenu des activistes dont Lizzie Carr, fondatrice de Planet Patrol et militante environnementale, qui a documenté plus de 9 000 déchets collectés lors d'événements en paddle avec la marque. Il y a également la marque Biotherm qui s’est (une nouvelle fois) engagé pour la préservation des milieux marins avec la Fondation Tara Océan. Nous savons que les formules de certaines crèmes ont un grand impact sur les océans. Le gamme solaire "Waterlover", respectueuse de la peau et de l’environnement.
Le tourisme des bateaux de croisière est aussi une véritable menace pour les océans. Selon une étude de L’ONG, 94 paquebots du croisiériste Carnival émettent à eux seuls dix fois plus de dioxyde de soufre que 260 millions de voiture en Europe. Il faudrait alors abandonner, boycotter le tourisme de croisière et plutôt favoriser d’autres types de vacances qui respectent l’environnement.
Afin d’espérer sauver les mers, les océans… nous devons changer les activités qui sont faites sur terre. Les océans recouvrent près des deux tiers de notre planète. Nous en avons besoin pour l'eau, la nourriture, le climat et l'oxygène que nous respirons. Près de la moitié de la population de la planète dépend directement des mers. Les océans sont une source d'énergies renouvelables, de ressources naturelles et de nouvelles molécules pour les soins médicaux et les traitements phytosanitaires et vétérinaires.
Comment les jeunes peuvent se déplacer en respectant l’environnement en France ?
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La crise sanitaire du covid a poussé la prise de conscience, l’écologie est devenue l’une des préoccupations essentielles, en particulier dans les moyens de transport. Les jeunes sont d’autant plus concernés qu’ils sont ouverts à l’innovation de d’autres alternatives qui s’offrent à eux. Cependant il faut les amener à changer complètement d’habitude en matière de déplacement.
Le site Minute Auto s’est intéressé aux modes de transport des jeunes Français. Il a sondé 2 082 d’entre eux afin de prendre connaissance de leurs habitudes de transports pour se rendre sur le lieu de leurs études.
Les résultats de son étude ne sont finalement pas si favorables aux solutions respectueuses de l’environnement : 37% des jeunes interrogés vont étudier en véhicule motorisé, tandis que 22% recourent aux transports en commun, 19% optent pour le covoiturage, 16% privilégient la marche et 6% seulement emploient leur vélo.
La marche est donc délaissée par de nombreux étudiants. Comment l’expliquer ? Le lieu des études est très souvent localisé en ville et qu’il n’est pas évident d’habiter à proximité. De plus, certains lieux restent difficilement accessibles et la marche implique généralement de disposer de davantage de temps pour faire le trajet.
D’autant plus les transports en commun couvrent une très grande partie du territoire des agglomérations. Par exemple à Créteil autour des campus de l’UPEC on y retrouve le métro ligne 8, les bus 181, 281, 317, O1, O2 et le TVM ainsi que des gares du RER D à une dizaine de minutes en bus.
Ce sondage met en évidence la popularité des vélos auprès des étudiants 6% seulement utilisent le vélo, c’est un chiffre décevant. C’est d’autant plus dérangeant d’observer que toutes les plus grandes villes ont mis à disposition des pistes cyclables tout en supprimant des axes de routes principalement utilisées par les véhicules motorisés. Entre Choisy et Créteil cela a juste permis de créer des bouchons insupportables pour les détenteurs de voitures.
Chacun connaît la nécessité de réduire à court terme les émissions de gaz à effet de serre, de microparticules et d’émanations toxiques. Le vélo est le mode de transport idéal pour y parvenir.
Les sociétés de vélos en libre-service comme Velib, LIME, DOTT, TIER apportent des solutions à ces inconvénients en développant une gamme de vélos électriques accessible à tous.
cette solution très économique peut être utilisée pour un prix modique, après simple inscription et installation d’une application. Le moteur électrique aide les étudiants à gagner du temps sur leur trajet et peut leur éviter de faire trop d’efforts.
Par son concept, les vélos libre-service excluent également les risques de vol et les besoins d’entretien. Le stationnement est facile, puisqu’il est possible de ranger son vélo même si la station est complète. Il s’agit d’une solution écologique qui favorise l’utilisation de vélo pour un itinéraire en « one-way » : on peut rentrer chez soi ou rejoindre des amis, il n’est pas obligatoire de garder le vélo avec soi.
L’équipe lJE La Jeunesse Écolo